Jameuze chante sans fioriture, avec sa guitare. Il a roulé sa bosse avec les comparses de Pourkoipanou. Aujourd’hui, il continue avec Les Insolants. Son univers est balisé par La Rue Kétanou, Les Ogres de Barback, Les VRP, cette scène chanson française des années 90-2000. Pas de poésie ciselée, pas d’arrangements grandioses: de la sincérité, de la proximité, voilà toute sa force. Jameuze n’a pas la voix de Monsieur Jamait, il a la sienne, chaleureuse et attachante. C’est tout ce qui compte pour un chanteur.